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À l’heure où le moindre smartphone haut de gamme flirte allègrement avec les 1000 euros, que peut-on vraiment attendre d’un téléphone à 153 euros ? Xiaomi profite de l’arrivée de l’automne pour lancer sa nouvelle famille de smartphones accessibles. Avec sa nouvelle gamme Redmi 15, la marque lance trois modèles, avec des versions Pro et classique. Toutefois, c’est le Redmi 15C, le benjamin, le moins coûteux des trois, qui retient aujourd’hui toute notre attention.
Car, sur le papier, la promesse est belle. Jugez plutôt : un grand écran de 6,9 pouces en 120 Hz, une batterie de 6000 mAh et une charge rapide 33 W. Le tout orchestré par une puce MediaTek Dimensity 6300. Voyons maintenant si, au quotidien, cela suffit à répondre à tous nos besoins ou si le tarif plancher cache trop de faiblesses.
Résumé du test
Pour
- Le design soigné, même si classique
- La qualité de fabrication
- L’autonomie solide
- Les photos correctes de jour
- La présence d’une prise jack et d’un port microSD
- Puissance juste mais suffisante pour l’essentiel
Contre
- L’écran peu lisible en plein soleil
- Les ralentissements occasionnels de l’interface
- Le haut-parleur
- Les nombreux pourriciels à désinstaller au démarrage et après
- Les performances en jeu
- La photo de nuit
Comment sont testés les aspirateurs robots chez NomadeUrbain.fr ?
Nos tests d’aspirateurs robots allient mesures précises et usage réel. Nous analysons la qualité de conception (dimensions, matériaux, résistance, connectique), puis les performances de navigation (LiDAR, caméras, IA). Les tests d’aspiration s’effectuent sur différents types de saletés (poussière, riz, litière) et sols (durs, tapis). Le lavage est jugé sur la puissance, la pression ou vibration des patins ou serpillières. Nous mesurons également le bruit (en dB), l’autonomie, la recharge, et évaluons la base (vidage, lavage, séchage). Enfin, plusieurs profils d’utilisateurs testent le robot au quotidien pour juger de sa simplicité, efficacité, ergonomie et cohérence de l’appli.
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Ce test a été réalisé avec un produit prêté par Xiaomi.
Design du Xiaomi Redmi 15C : Un classicisme assumé
Pour le Redmi 15C, Xiaomi revient à un design plus sage, plus classique. Cela commence par le bel écran de 6,9 pouces, ce qui lui confère un gabarit généreux : 173,16 mm de hauteur pour 81,07 mm de largeur et 8,2 mm d’épaisseur. Le poids reste pourtant contenu pour un tel format, avec 211 grammes bien équilibrés.

En façade, l’affichage occupe 84 % de la surface, la faute à des bordures bien visibles et à la présence d’une encoche en goutte d’eau, là où le Redmi 15 propose un poinçon central plus discret.


Les tranches latérales sont plates, avec un effet métal, avec sur la droite les boutons de volume et d’alimentation. La tranche gauche accueille le tiroir double carte SIM. Sur la tranche inférieure se trouvent l’essentiel : le haut-parleur mono, le port USB-C et une prise jack 3,5 mm. Ce qui ravira tous ceux qui ne sont pas passés au casque Bluetooth.

Le dos en plastique plat se décline en noir, vert et violet. La sobriété est de mise, excepté pour la version violette plus recherchée, avec un jeu de surface différent. Toutefois, nous regrettons presque le design du Redmi 14C, avec son bloc optique rond et ses coloris plus chatoyants.

Le bloc optique carré ressort légèrement. Il est très bien intégré, conçu comme une extension organique de la coque plutôt qu’un simple ajout. Visuellement rien à dire, c’est une réussite. L’ensemble donne une impression de sérieux, avec un assemblage soigné et des finitions propres. La présence d’une certification IP64, qui garantit une résistance aux éclaboussures même sévères, est un atout appréciable.
Prise en main du Xiaomi Redmi 15C : Un grand format tout en équilibre
Avec des mensurations de 173,16 × 81,07 × 8,2 mm d’épaisseur, l’usage au quotidien du Redmi 15C implique une utilisation à deux mains pour les tâches autres que la numérotation ou l’écriture de courts messages.



Si nous avons apprécié sa prise en main, ceux qui ont de petites mains seront moins à l’aise. Nous aimons beaucoup le positionnement des boutons sur la tranche droite. Toutefois, leur relief trop discret peut entraîner de petites erreurs de manipulation au quotidien. Il n’est pas rare de se tromper entre les touches de volume et celle dédiée à l’alimentation.

La surface du dos est totalement lisse et pas trop glissante. Toutefois, une prise assurée est conseillée les jours de grande chaleur. Bon point, la coque n’accroche pas trop les traces de doigts, sauf si vous venez de manger des fritures… Dommage que l’écran ne soit pas aussi bien protégé contre cela. Une fois posé à plat, l’appareil n’est pas stable. Il bascule dès qu’une pression est appliquée sur l’écran en dehors du tiers inférieur. Son utilisation sur une table est donc peu confortable, sauf pour taper un message.
L’écran du Xiaomi Redmi 15C : De belles couleurs qui craignent le soleil
Le Redmi 15C embarque une grande dalle LCD de 6,9 pouces affichant une définition de 1600 × 720 pixels. Cela nous donne une résolution de 257 ppp, qui se révèle suffisante au quotidien. L’affichage est net mais manque parfois de finesse. Le taux de rafraîchissement est au choix, fixe, à 60 Hz pour préserver la batterie ou jusqu’à 120 Hz pour gagner en fluidité. Quant à la réalité du chiffre, nous pensons plus à un taux variant de 90 à 120 Hz qu’à un pur 120 Hz.


Le rendu de cette dalle LCD est de bon ton, avec une colorimétrie plutôt naturelle. Nous avons toutefois remarqué des tons un peu plus chauds qu’ils ne le devraient, et cela se voit surtout sur les fonds clairs. Nous avons une belle palette de nuances de gris et de couleurs. Le taux de contraste n’est pas infini, LCD oblige, mais il reste très acceptable.

À 153 euros, nous sommes pour l’instant satisfaits, mais si nous parlons de la luminosité, le bilan est moins brillant. Ainsi, l’expérience se complique sérieusement en plein soleil, où l’écran devient difficile à déchiffrer. Conséquence logique, les contenus HDR ne bénéficient pas d’un rendu optimal, même dans le noir complet.
Logiciel Xiaomi Redmi 15C : HyperOS, entre efficacité et pourriciels
Le Redmi 15C est animé par Android 15, avec la surcouche HyperOS 2 de Xiaomi. L’expérience reste fidèle à ce que propose la marque. Nous avons droit à une interface claire, agréable à parcourir et riche en options de personnalisation. La fluidité globale est correcte, bien que contenue par les limites du processeur Dimensity 6300. Seule concession notable par rapport aux modèles plus onéreux, les fonds d’écran animés 3D ne sont pas de la partie.


Le tableau est cependant terni par une habitude tenace chez Xiaomi, la présence de nombreux pourriciels (bloatware) au démarrage. Même en bloquant une partie des suggestions à l’installation, il faudra tout de même procéder à une bonne dizaine de désinstallations manuelles pour retrouver un environnement propre. Côté intelligence artificielle, l’offre va à l’essentiel avec l’intégration de Gemini et de la fonction Circle to Search.




Le smartphone se rattrape sur un point essentiel, sa longévité logicielle. Xiaomi assure une politique de mises à jour sérieuse pour cette gamme de prix, avec la promesse de 4 ans de support Android et 6 ans de correctifs de sécurité.
Fonctions réseau et communication : Une connectivité complète
Sur le plan de la connectivité, le Redmi 15C se montre complet et à jour pour sa gamme de prix. Il assure une compatibilité avec l’ensemble des fréquences 4G et 5G françaises. Son tiroir peut accueillir au choix deux cartes SIM ou une seule SIM accompagnée d’une carte microSD pour étendre le stockage. La connectivité locale est également moderne, avec le support du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5.4, et le NFC est bien de la partie. Enfin, la géolocalisation est assurée par les systèmes GPS, Galileo, GLONASS et Beidou.
Audio et qualité d’appel du Xiaomi Redmi 15C : Heureusement, la prise jack est là
La partie audio du Redmi 15C repose sur un unique haut-parleur qui montre très vite ses limites. Le rendu sonore est clairement déséquilibré, avec une prédominance marquée des aigus et des hauts-médiums qui écrasent le reste du spectre. Les basses sont quasi absentes et tout ce qui se situe en dessous de ce registre semble étouffé. Ce manque de définition général, qui rend les aigus brouillons, ne fait qu’accentuer cette faiblesse.

Le comportement du haut-parleur ne s’améliore pas en augmentant le volume. La puissance globale est de toute façon assez faible, et la saturation se manifeste rapidement dès que l’on pousse le son un peu trop fort. Face à ce constat, la présence d’un port jack 3,5 mm donnera le sourire à beaucoup. Quant aux appels, ils sont propres mais manquent parfois de définition, sans entacher la compréhension.
Les performances du Xiaomi Redmi 15C : Une mécanique modeste, mais fiable
Pour animer le Redmi 15C, Xiaomi s’appuie sur une configuration modeste mais cohérente avec son tarif. Le cœur du système est un SoC MediaTek Dimensity 6300, épaulé par 4 Go de mémoire vive (LPDDR4X) et un stockage en UFS 2.2 de 128 ou 256 Go. La partie graphique est confiée à un GPU Mali-G57. Une fiche technique qui ne vise pas les sommets, mais qui assure une bonne moyenne dans cette gamme de prix.
Benchmarks



À l’usage, cette configuration suffit pour faire tourner Android et les applications du quotidien sans difficulté majeure. Il ne faut cependant pas attendre une grande réactivité de sa part. Nous avons constaté que de petits à-coups se font sentir régulièrement, notamment lors du passage d’une application à l’autre. Le Redmi 15C répondra donc aux besoins de base d’un utilisateur patient, mais n’est clairement pas conçu pour les créatifs ou les profils exigeants.
Performances gaming :
La conclusion est encore plus tranchée en matière de jeu vidéo. Les titres 3D exigeants sont à proscrire.
Benchmarks Gaming



Pour l’exemple, une partie sur Fortnite avec tous les détails et options de qualité au plus bas, se solde par un framerate oscillant péniblement entre 1 et 15 fps, le tout accompagné de lags multiples. Il faudra donc se contenter de jeux 2D ou de titres très légers pour espérer une expérience fluide.
Stabilité et chauffe :
Là où le Redmi 15C surprend très agréablement, c’est sur sa stabilité. La gestion thermique est excellente : même après une heure d’usage intensif. Le bridage des performances (throttling) ne dépasse pas 15 %, et ce, uniquement sur de très courtes périodes. Le téléphone ne chauffe jamais de manière excessive, ce qui est un vrai gage de confort.

Le choix de Xiaomi est donc clair : plutôt que la puissance brute, la marque a privilégié une exploitation optimale et maîtrisée d’une puce modeste. Le Dimensity 6300 n’est pas un foudre de guerre, mais ses performances restent stables et constantes.
La photo du Xiaomi Redmi 15C : Honnête de jour, plus discutable de nuit
La configuration photo du Redmi 15C va à l’essentiel avec :
- un capteur grand-angle de 50 Mpx avec une ouverture f/1.8

Oui, rien de plus ! Enfin si, il est accompagné d’un second module que Xiaomi nomme « objectif auxiliaire », sans toutefois fournir de détails sur sa fonction ou ses caractéristiques. Pour les selfies, une caméra avant de 8 Mpx avec une ouverture de f/2.0 est aux commandes.
Photos de jour :
Que pouvons nous donc attendre de ce mobile niveau photo ?
Capteur principal :
De jour, le capteur principal fait le job, mais il révèle vite ses limites. Le premier constat concerne sa difficulté à gérer les hautes lumières, ce qui entraîne une tendance à la sous-exposition pour compenser. L’image est alors souvent un peu plus sombre que la réalité, un défaut que nous avions déjà noté sur le Redmi 15.








Si la gestion des contrastes reste correcte, le traitement manque de finesse sur les micro-détails. Le bruit numérique s’invite discrètement même lorsque la lumière est bonne, et le lissage logiciel se montre parfois trop agressif. Le rendu global est honorable, mais sans plus. Tant que les clichés sont visionnés sur l’écran du téléphone, le résultat est acceptable. Un affichage sur un écran plus grand mettra rapidement en lumière ces faiblesses.
Les différents niveaux de zoom :
Le téléphone propose un zoom exclusivement numérique. Dès le rapport x2, nous constatons une perte de précision et un profil colorimétrique qui devient plus clair que la prise de vue en x1.


Les contrastes restent stables et le bruit discret, rendant l’image encore exploitable.


À x4, les limites sont bien plus évidentes. La fidélité des couleurs se dégrade avec une image encore plus claire, tandis que le bruit numérique gagne en visibilité. Sur des zones complexes comme une horloge, les contours manquent de netteté.


Zoom x8 et zoom x10
Dans de bonnes conditions, le cliché peut encore dépanner pour un partage rapide. Les zooms x8 et x10 dépassent cependant les capacités du capteur : le bruit explose, les textures sont brouillées et les micro-détails disparaissent. Ils sont à éviter.
Photo de nuit
Passons au mode nuit et comme vous vous en doutez, ce n’est pas ici que nous serons bluffé.
Capteur grand-angle :
De nuit, le capteur peine nettement plus, y compris sur des scènes urbaines bien éclairées comme ici une place de marché.


Le traitement logiciel abuse du lissage pour masquer le bruit numérique, qui s’installe massivement. La colorimétrie dévie vers l’orange et, dès que la lumière vient réellement à manquer, les photos perdent tout relief et deviennent difficilement exploitables.





Pour 153 euros, cela reste passable, mais les amateurs de clichés nocturnes devront revoir leur budget à la hausse.
Les différents niveaux de zoom :
En basse lumière, le zoom numérique révèle sans surprise ses plus grandes faiblesses, et le capteur atteint rapidement ses limites.


Dès le niveau x2, le système peine à capter suffisamment de lumière, provoquant l’installation immédiate d’un bruit numérique très visible. Le traitement logiciel tente de compenser, avec des résultats mitigés. Les zones claires de l’image, comme un néon ou un lampadaire, restent lisibles mais manquent cruellement de précision et de netteté. Les zones sombres, quant à elles, deviennent rapidement brouillonnes, transformées en un amas de pixels où le lissage agressif et le bruit se disputent le peu de détails restants, rendant les textures indistinctes.


Le passage en x4 ne fait qu’amplifier ces défauts de manière exponentielle. Le bruit devient omniprésent sur l’ensemble du cliché, le lissage est encore plus visible et la perte de piqué est telle que l’image perd toute sa substance.


Zoom x8 de nuit vs Zoom x10 de nuit
Au-delà, tous les niveaux de zoom ne font que reproduire ces faiblesses de manière encore plus marquée et sont donc à proscrire pour espérer obtenir un résultat convenable.
Portraits et Selfies :
Le mode portrait du Redmi 15C s’en sort honorablement, avec un détourage de bonne qualité. Nous n’avons noté que de rares erreurs, notamment sur la chevelure bouclée et pleine de vie de la fille du testeur.

La colorimétrie est fidèle à celle du capteur principal, naturelle, mais toujours avec cette tendance à la sous-exposition. Un léger lissage est présent, mais les détails comme les poils de barbe ou la texture d’une veste sont correctement restitués. L’effet bokeh est bien maîtrisé, bien que sa progressivité manque un peu de fluidité.
Le capteur selfie de 8 Mpx remplit bien son rôle. Le détourage est propre et n’a été mis en défaut que sur des coiffures complexes. Le niveau de détail est très correct, autorisant un léger recadrage pour une publication sur les réseaux sociaux.

Si les poils de barbe s’en sortent bien avec un lissage de la peau maîtrisé, les textures des vêtements manquent un peu de finesse. Enfin, l’effet bokeh est propre et sa progressivité est réussie.
Autonomie et charge du Xiaomi Redmi 15C : Bien mais nous espérions plus…
Avec sa généreuse batterie de 6000 mAh, le Redmi 15C promet une autonomie confortable. Une promesse tenue lors de nos tests : en usage normal, le smartphone encaisse sans difficulté une journée complète et peut même vous accompagner jusqu’au bout de la nuit avec un usage modéré, loin des jeux vidéo. En utilisation intensive, l’endurance se situe logiquement entre 8 et 10 heures. Le benchmark PCMark corrobore ces observations avec un score de 10h58.

Notre protocole de test en lecture vidéo, basé sur le film Wonder Woman 84 (2h30, luminosité à 250 nits, volume à 50 %), s’est soldé par une endurance comprise entre 12 et 17 heures. Le bilan est donc solide, même si une batterie de cette capacité laissait espérer un résultat encore meilleur.

Pour la recharge, le bloc de 33 W fourni assure une performance correcte. Il nous a fallu un peu plus d’1h15 pour une charge complète de 0 à 100 %. En 30 minutes, le téléphone récupère près de 45 % de sa capacité. Pour un besoin plus pressé, les 15 premières minutes permettent de regagner 17 % d’autonomie, de quoi repartir pour quelques heures.
Conclusion, prix et disponibilité du Xiaomi Redmi 15C :
Le Xiaomi Redmi 15C est disponible en vert, noir et blanc, et dans une seule configuration de 4 Go de Ram et 128 go pour 153 euros, 183 euros en 4Go + 256 Go. Une version 8Go + 256 Go est aussi disponible pour 199 euros hors site Xiaomi.
FAQ Xiaomi Redmi 15C
➤ Les performances du Dimensity 6300 sur le Xiaomi Redmi 15C sont-elles fluides au quotidien ?
➤ Peut-on jouer confortablement (Fortnite, titres 3D) ou faut-il se limiter à des jeux légers/2D ?
➤ Le grand écran 6,9″ (120 Hz) du Xiaomi Redmi 15C reste-t-il lisible en plein soleil ?
➤ La définition HD+ (1600×720) suffit-elle sur un écran de 6,9″ ?
➤ L’autonomie du Xiaomi Redmi 15C avec la batterie 6000 mAh tient-elle une vraie journée ?
➤ La charge 33 W permet-elle de passer de 0 à 100 % en ≈1h15 ?
➤ HyperOS 2 contient-il beaucoup de pourriciels et peut-on les supprimer facilement ?
➤ Quelle est la politique de mise à jour promise par Xiaomi pour le Redmi 15C ?
➤ La partie photo (50 Mpx) est-elle correcte de jour et que vaut la photo de nuit ?
➤ Le zoom numérique (x2, x4…) du Xiaomi Redmi 15C reste-t-il exploitable ?
➤ Le mode portrait et le selfie 8 Mpx offrent-ils un détourage propre ?
➤ L’audio est-il satisfaisant et la prise jack 3,5 mm change-t-elle l’expérience ?
➤ La connectivité du Xiaomi Redmi 15C est-elle complète (5G, Wi-Fi 6, NFC) ?
➤ Peut-on étendre le stockage via microSD et garder une double SIM ?
➤ Le Xiaomi Redmi 15C vaut-il ses 153 € en 2025 ?
À propos de Yazid Amer :
Journaliste depuis 1999, Yazid Amer couvre les technologies, la culture, le lifestyle et la mobilité. Il a collaboré avec Le Parisien Week-End, Men’s Health, FHM, Frandroid, Plugged, Le Journal du Geek, Apollo Magazine, Vivre Paris et JVTech. Fondateur de NomadeUrbain.fr, il explore le quotidien connecté avec rigueur et passion.
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